Le 6 décembre, Maëlys, policière volontaire de 18 ans, a sauvé la vie d’un bébé de 13 jours qui était sur le point d’étouffer. Elle nous a confié son acte héroïque.
Maëlys Saint-Denis, assistante gendarmerie volontaire âgée de seulement 18 ans, a réalisé un acte héroïque en sauvant un nourrisson de 13 jours d’une situation d’étouffement .
Le jeune gendarme est venu à la rescousse et a réalisé les bons gestes. Ce geste courageux a été décrit comme « un miracle de Noël avant l’heure ».
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Le 6 décembre, Maëlys Saint-Denis répond à un appel d’urgence du centre opérationnel de la Gendarmerie. Il s’agissait d’une urgence majeure : un bébé s’étouffait .
Sans hésiter, le jeune gendarme, qui n’était en poste que depuis trois semaines , s’est immédiatement rendu sur place avec deux collègues. À son arrivée, la mère, Zineb, était sous le choc et le bébé était inconscient sur la table du salon .
Maëlys, avec sa précédente formation de pompier volontaire , a pris la situation en main. Elle a vu que le bébé ne respirait plus et, agissant rapidement, lui a administré cinq gifles dans le dos .
Grâce à ces gestes, la petite Maïssa a miraculeusement recommencé à respirer . Maëlys a confié à RTL :
Quand je suis entrée dans l’appartement, j’ai vu la mère en panne et le bébé sur la table basse.
J’ai pris le bébé dans mes bras. J’ai vu qu’elle était bleue et ne respirait pas. Je l’ai retournée et lui ai donné cinq gifles dans le dos pour dégager l’obstruction si nécessaire.
En lui donnant une gifle, j’ai probablement débloqué quelque chose.
La petite Maïssa a ensuite été transportée à l’hôpital de Grenoble, où sa mère est restée à son chevet .
La mère du bébé s’est exprimée
Après le sauvetage de Maëlys, la mère du nourrisson est soulagée et plus heureuse que jamais .
Aujourd’hui, Maïssa va très bien.
Elle a également tenu à remercier le jeune policier dans un entretien au Parisien :
A 18 ans, elle avait beaucoup de sang-froid, beaucoup de courage. Du fond du cœur, je la remercie d’avoir sauvé ma fille.